Marques

  • 45R

    Logo 45R

    La marque japonaise 45R, âgée d’une quarantaine d’années, représente l’essence même du concept de « slow fashion ». Ses créations, minutieusement réalisées à la main sont de véritables trésors, qui vieillissent avec leur propriétaire. 45R utilise en effet beaucoup les techniques traditionnelles d'impression et de teinture appelées basin ou Shibori, qu’elle réalise à Yamagata - une petite ville du nord du Japon connue pour cet artisanat. Elles permettent aux teintes de s'estomper naturellement avec le temps et l'exposition au soleil, adoucissant les tons, rappelant la peinture à aquarelle. Il faut environ un an pour que les vêtements teints de telle manière passent de la conception aux boutiques. Tout d'abord, tout est dessiné à la main, de la pièce aux motifs, et orchestré par Mme Midori Matsubara, la designer de la maison. Les dessins sont ensuite remis à un graveur, qui fabrique les cadres d'impression et les envoie à Suzuki Nassen, la petite usine de 25 artisans, située dans cette petite ville montagneuse de Yamagata. Les impressions sont appliquées à la main, en appuyant le cadre contre un rouleau de tissu pré-teint, tentant de maintenir une uniformité. La solution de basin, appliquée sur le dessus, extrait le colorant, puis les impressions sont lavées, dévoilant les motifs. C’est 100 fois plus long que la sérigraphie moderne. On est loin des marques qui sortent des collections hebdomadaires ! La maison propose même souvent dans ses boutiques un service de nettoyage et de restauration de la teinte des denims.

    Faire trésor des vieilles choses, des techniques anciennes et des vieux sages, tel pourrait être leur Motto. Une telle attention aux détails et une telle passion de l’artisanat a un prix, mais ces créations sont celles que l’on garde une vie.

  • BEAMS

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    Le premier magasin BEAMS a ouvert ses portes en février 1976 dans une minuscule échoppe à l'intérieur d'un bâtiment de Harajuku. Aujourd’hui c’est un monstre tentaculaire dans le monde de la mode et du life style au Japon. L’inspiration est souvent américaine, surtout à ses débuts. Le calque était posé sur le mode de vie des étudiants des grandes universités outre-Atlantique. Aujourd’hui, BEAMS est un groupe possédant des dizaines de marques et des points de ventes innombrables, même à l’internationale. Le style est intemporel, authentique, parfois presque nostalgique, du casual au streetwear.

  • COMING SOON

    Logo Coming Soon

    COMING SOON, décrite comme une « collection capsule super casual », est lancée en 2008 par Yohji Yamamoto et la société italienne de licences de design Sinv Spa. Keizo Tamoto, alors PDG de Yamamoto Inc, l'a décrite comme « une ligne plus abordable destinée aux jeunes consommateurs cherchant à passer du streetwear à des pièces plus élégantes ». Sortie de l’imagination toujours féconde et souvent poétique de la maison japonaise, COMING SOON distille des créations à la fois simples et dotées d'une grande technicité, décontractées et intemporelles, féminines et masculines. Par nature anonyme, c'est la première licence de Yohji Yamamoto sans le nom ou la signature du styliste sur l’étiquette.

  • COMME des GARÇONS

    Logo COMME des GARÇONS

    Comment parler de la mode au Japon sans passer par cet incontournable iconoclaste ?

    Créée en 1969, par la créatrice japonaise Rei Kawakubo, cette marque a révolutionné la vision du style, avec l’intelligence visionnaire de celle-ci. Ce sont des conventions, surtout occidentales, sur la beauté, la construction d’un vêtement et tant d’autres, dénoncées une à une. Une collection présentée à Paris en 1981 et le succès fera son nid, petit-à-petit en occident. Longtemps marquées par l’utilisation exclusive du noir, les collections se firent des explosions de couleurs dès le milieu des années 90 ; elles utilisent aussi l’asymétrie de manière récurrente et la dégradation volontaire de certains modèles qui sont troués ou déchirés. Junya Watanabe intégrera la maison plus tard, responsable de la ligne Tricot, du prêt-à-porter masculin et de sa propre ligne pour femmes. Toujours avant-gardiste, il est maitre dans l’art de la « techno-couture », la rencontre entre la technologie et la mode, passionné de matières, du découpage et du drapage.

  • GVGV

    Logo GVGV

    La marque GVGV, naît en 1999, sous le crayon de Mug. C’est l’essence du style japonais épuré, toujours pratique et avec des notes luxueuses. Textures naturelles et délicates, fluidité, larges palettes de couleurs, parfois genderless, la marque a su faire son trou à partir de 2003, année de son premier défilé à TOKYO COLLECTION. À noter, une collaboration avec Uniqlo et une capsule pour homme avec Opening Ceremony.

  • IRIÉ

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    Arrivé à Paris par le Transsibérien Express avec peu d'argent et sans plans précis, Irié a travaillé pour Kenzo Takada de 70 à 79, après un petit passage chez Hiroko Koshino. Il lance sa propre collection et ouvre une boutique en 1983, sur un coup de tête dit-il, après avoir acheté une colonne corinthienne aux puces, qu’il fallait bien abriter. Irié, omniprésent, a toujours gardé la main sur tout. Malgré son succès, il semble avoir volontairement maintenu une dimension humaine. Son style allie simplicité et efficacité, une forme d’élégance très brute, adaptable et personnalisable, pour toutes les femmes. Il est aussi coloré et aime jouer avec les motifs, floraux, fantaisie ou animaliers. Le confort et la commodité sont toujours centraux. Parfois se greffent des détails inhabituels, paillettes, imprimés holographiques, plastique. C’est un peu une idée du chic parisien, sans effort, pour toute occasion. Il s'est dit motivé à créer des vêtements qui permettent à une femme de déjeuner avec son banquier à Paris 16e, puis de boire un café noisette avec des amis Rive Gauche. Sa matière signature est le Irié Wash, stretch souple et léger, lavable en machine. Ses influences sont très françaises: fasciné par l’univers de Truffaut et de Godard, la vie parisienne de café en café, il ajoute quelques notes japonaises en deuxième lecture, ça et là. Sa boutique parisienne, toute de chrome et de miroirs, de marbres colorés et de design parée, ne laisse en rien transparaître la volonté de ne pas se développer d’avantage, d’éviter jeux de pouvoirs et problèmes de notoriété. Nous vous invitons à la découvrir !

  • ISSEY MIYAKE

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    Issey Miyake a été le premier à redéfinir les normes vestimentaires. Ses patrons de vêtements étaient très différents de ceux de style occidental dont il restructurait la construction classique. Il est considéré comme le père fondateur de cette nouvelle école de mode japonaise d'avant-garde, qui fut aussi l’école de Rei Kawabuko et Yohji Yamamoto. Issey Miyake prétend que la simplicité est souvent la clé pour porter ses vêtements, qui sont assez amples et versatiles pour être portés de différentes manières. Il est très connu pour ses tissus originaux, dont la fameuse collection au tissu plissé permanent PLEATS PLEASE.

  • JUNKO KOSHINO

    Logo JUNKO KOSHINO

    Junko Koshino est une créatrice de renommée internationale, issue d’une dynastie de femmes, toutes bercées par les flots de la mode. Ses sœurs ne sont autres que les illustres créatrices Michiko et Hiroko, et sa mère, Ayako, est à la tête d’un empire dans le retail. Née à Osaka, au Japon, Koshino a étudié le design au Bunka Fashion College et est entrée pour la première fois sur la scène internationale de la mode à la Paris Collection en 1978. Pendant plusieurs décennies, elle a partagé ses créations de mode dans le monde entier, y compris à Pékin en 1985, au Metropolitan Museum de New York en 1990, Hanoi en 1994 et Cuba en 1996, entre autres.

    En 2005, elle a organisé une exposition de design au Musée d'histoire et de la révolution chinoise de Pékin, et en 2006, elle a reçu « Cavaliere dell 'Ordine della Stella della Solidarieta' Italiana », un prix prestigieux sur la scène de la mode italienne. Elle a également été nommée ambassadrice de « YOKOSO! JAPAN » (Travel Japan) pour l'Exposition universelle de Shanghai 2010.

    Les œuvres de Koshino sont très variées et incluent la conception de costumes d'opéra (« The Magic Flute », « Madame Butterfly »), ou même le design et la décoration intérieure.

    Koshino utilise fréquemment des cercles, des triangles et des carrés comme éléments créatifs. Elle considère les cercles comme le symbole de la nature, tandis que les triangles et les carrés symbolisent la civilisation humaine: à mesure que ces trois formes fusionnent et s'opposent de manière asymétrique, une harmonie et un équilibre - exquis - sont créés.

  • KANSAI YAMAMOTO

    Logo Kansai Yamamoto

    Décédé le 28 juillet 2020, Kansai Yamamoto est probablement l’un des créateurs les plus flamboyants de son temps et son impact est indéniable. Il est animé par une philosophie: le basara. Ce terme japonais fait référence à une liberté colorée et éclectique, audacieuse et luxuriante, aux antipodes du wabi-sabi. Sa vision joyeuse et exubérante de la mode se heurte à la rigueur intellectuelle et à l’abstraction de ses contemporains Issey Miyake, Yohji Yamamoto et Rei Kawakubo. Il a été le premier japonais à défiler à Londres, en 1971, un précurseur du rayonnement de la mode japonaise, réinventant le kimono, définissant un vestiaire extravagant, plein de références à la culture japonaise, comme le théâtre Kabuki. Il s'est inspiré de l'artisanat traditionnel (tressage décoratif notamment), a souvent expérimenté les plis et les torsions pour donner vie à ses silhouettes inhabituelles. Admiré par l'ensemble du «milieu» et les artistes, il a animé des « super-shows », qui combinaient mode, musique, danse et accueillaient parfois plus de 100 000 spectateurs. Il a partagé sa passion pour le spectacle avec David Bowie, qu’il a habillé pendant de longues années sur ses shows. « Je pense que David a senti que l'énergie de mes créations contribuait à sa propre énergie », a-t-il dit. Beaucoup se sont inspirés de son travail, à commencer par Nicolas Ghesquiere pour Louis Vuitton, qui a collaboré avec lui en 2018 pour orner ses créations de visages de yakko, du théâtre japonais. Rick Owens rendu un hommage ouvert à Kansai l’an dernier sur la FW 2020, notamment avec une combi rayée à une jambe avec des épaules anguleuses, qui était clairement un clin d’œil à la combi « Tokyo Pop » de Kansai. Alessandro Michele (Gucci) aussi, avec des motifs et des imprimés de visages audacieux, caractéristiques des œuvres de Kansai.

  • KAPITAL

    Logo Kapital

    L’americana, la reproduction et l’interprétation méticuleuse du denim américain, poussée à son paroxisme ? Kapital est un nom considéré par les puristes comme un pilier du denim japonais. Kapital est né en 1984, de la passion obsessionnelle de Toshikiyo Hirata pour la mode du pays de l’oncle Sam, après de nombreuses années passées aux US à enseigner le karaté et à apprendre la fabrication du denim. Des années plus tard, son fils Kiro marche dans ses traces aux US et s’imprègne des mêmes codes. L'entreprise père-fils, à l'origine appelée « Capital » en référence à la capitale du denim, Kojima, a été renommée Kapital après l'arrivée de Kiro. Dans la petite préfecture d’Okayama, plaque tournante du denim à destination du monde entier, la petite maison familiale a fait son nid et a grandi pas à pas, pour devenir un empire. Pas par les défilés, pas par les voies traditionnelles de la Haute Couture, mais à travers des denims exceptionnels et un style affirmé, une synthèse entre les US et la tradition japonaise en matière de teinture (indigo ou de kaki par exemple) et de couture (boro et sashiko, entre autres), ajoutant complexité et profondeur critique au milieu du denim. Des sukajan, des broderies, des imprimés, des hauts western, des inspirations workwear et militaria… Kapital c’est le mélange des contraires, la réconciliation entre passé et le présent, un pont entre les générations, une alliance entre Orient et Occident. Les graphismes sont toujours prépondérants, les thèmes abordés très variables (squelettes, smileys, bandana, etc). Les pièces sont rares, les productions limitées. Le mélange des genres et l’exclusivité, Gaijin Paris aime !

  • KENZO

    Logo Kenzo

    Fondée à Paris en 1970 sous le nom de Jungle Jap, l'enseigne prend le prénom de son fondateur en 1980 : Kenzo, ou la persévérance d'un homme. « jungle » restera pour une de ses lignes pour femme par la suite. Chaque maison de haute couture à succès a un style propre. Kenzo est à l'image de son fondateur Kenzo Takada, elle a toujours développé un style venu d'ailleurs - le Japon - et reflète l’obstination et ler talent de son créateur. Un mélange de modernité et de romantisme, ne notes d’art occidental et d'influences orientales. Une mode colorée, ethnique, nomade. Un style inspiré par l’Orient et l’Occident, les voyages, les imprimés.

  • Korii Joko International

    Logo Korii Joko International

    Korii Joko est inclassable, à mi-chemin entre un style sophistiqué, un côté new wave et les DC burando (Comme des Garçons, Yohji et consorts). Elle interprète de manière très singulière son temps, dans les années 80 et 90. Ses vêtements sont reconnaissables au premier coup d’œil. Elle est souvent considérée comme appartenant, à sa manière, à l’avant-garde japonaise. Elle sculpte la forme féminine avec des cercles concentriques ou l’orne de formes géométriques, rehaussées par des matières recherchées et des transparences, avec lesquelles elle se plait à jouer. Du macramé, des broderies, des cordages, des dentelles, de l’organza, de la soie, de la texture, des empiècements, des ornements (perles et autres pierres), des superpositions, des découpes laser ou aux finitions cousues, ou des volumes exagérés (aux épaules surtout, bienvenue dans les années 80), tout y passe. C’est so 80’S et à la fois si moderne. Cette maison de niche était principalement destinée au marché occidental, de New York à Londres, en passant par Milan, Paris et Amsterdam, c’est pourquoi l’étiquette arbore fièrement l’inscription « Korii Joko International ».

    Elle a plus ou moins disparu de la surface de la planète mode, mais à la fin des années 2000, elle a lancé une ligne d'accessoires et bijoux, faits de pierres semi-précieuses, de cristaux Swarovski, de perles d'eau douce ou de divers types de coraux. Gaijin Paris aime! Dommage que son talent n’ait pas pu s’exprimer plus longtemps.

  • LIMI feu

    Logo Limi feu

    Comment ne pas être pleine de talent avec un tel héritage ? LIMI feu, fondée en 2000, est une maison dont la créatrice n'est autre que Limi Yamamoto, la fille de Yohji Yamamoto. Elle défile à ses débuts, à Tokyo, puis en 2007, décide de défiler à Paris. La critique la salue et la clientèle suit. Tel père, telle fille. C'est une créatrice passionnée qui déborde d'énergie et de talent. Comme son père, elle raffole des couleurs sombres, des grands volumes, et des asymétries, mais elle est plus street et a une attitude plus rock, moins romantique que lui. LIMI feu met l'accent sur l'ambiance, le volume et le confort en éliminant les excès, et laisse délibérément de l'espace dans les vêtements pour permettre à la personnalité de qui les porte de se fondre avec. Les silhouettes sont souvent en ligne droite, tout en se combinant avec des drapés volumineux et originaux qui entourent le corps. Gaijin Paris adore.

  • MICHIKO KOSHINO

    Logo Michiko Koshino

    Née à Osaka au Japon en 1950, Michiko est la plus jeune des trois célèbres sœurs Koshino qui sont toutes devenues créatrices (Junko et Hiroko), et sa mère, Ayako, est à la tête d’un empire dans le retail. Fraichement diplômée du Bunka Fukuso Gakuin, l’université japonaise de design, en 1975, elle s’installe à Londres et s’impose rapidement, fusionnant à sa sauce les inspirations orientales et occidentales. Particulièrement, elle devient la reine de la culture club, alliant culture urbaine et vie nocturne, créations hautement en couleur et techno.

    À l'écart de la mode grand public, elle devient culte. En 1987, Michiko Koshino a commencé à collaborer avec la marque de vêtements pour hommes Motorking; ce sont aujourd’hui des objets de collection. Ses jeans Yen, fabriqués uniquement avec du denim japonais original, continuent d'être des succès commerciaux. Elle conçoit également pour la marque de vêtements féminins Q des tee-shirts inspirés des gangs de rue et de l'environnement urbain. Elle a aussi exploré les cosmétiques, le sous-vêtements, les lunettes de soleil et les montres. Sa liste d’aficionados comprend Keith de « The Prodigy », All Saints, les Spice Girls, Placebo, Talvin Singh ou encore Natalie Imbruglia.

  • PORTER YOSHIDA

    Logo Porter-Yoshida

    Marque recherchée en France, car non distribuée (seulement au Japon et uniquement chez quelques retailers triés sur le volet dans le monde), fondée en 1998 par Yoshida Kakan, qui offre un large choix de sacs et accessoires originaux et bien pensés. Collaborations nombreuses (Visvim, Murakami, Supreme, Neighborhood).

  • sacai

    Logo Sacai

    L’énigmatique designer féministe Chitose Abe, ayant fait ses preuves chez COMME des GARÇONS auprès de Rei Kawabuko avant de se lancer seule, à Tokyo en 1999, défila pour la première fois à Paris en 2001. Elle prend son temps et aime une forme de stabilité, par opposition à la fast fashion. Elle croise régulièrement plusieurs vêtements pour leur donner une silhouette haute couture. Et elle compte notamment Birkenstock et Nike parmi ses récentes (et nombreuses) collaborations. Le concepteur des étiquettes les plus en vogue du prêt-à-porter se définit comme «à contre-courant». Déconstruire et reconstruire éternellement, appliquer des textiles à des vêtements sur lesquels ils ne devraient pas figurer, épouser des pulls et des vestes ou des chemises et des sweats à capuche, des confections qui peuvent sembler déséquilibrées ou maladroites, tout en étant élégantes. Cette élégance qui décoiffe est ce qui décrit le mieux sacai.

  • TOGA

    Logo Toga Archives

    Dessinée par Yasuko Furuta, qui a étudié le stylisme et le dessin chez Esmod Japon et Esmod Paris. Elle fonde sa première marque TOGA à Tokyo en 1997. TOGA fait référence aux toges romaines, un clin d'œil à sa passion pour le drapé et le plissé. Sa vision avant-gardiste associe des éléments du style occidental contemporain et du design traditionnel japonais pour créer des pièces originales et captivantes. Ses collections mêlent des touches de vintage à des formes minimalistes modernes. Elle adore jouer avec les imprimés et développe un style alliant féminité et décontraction. En 2005, TOGA commence à présenter ses collections à Paris, puis en 2014 à Londres. En outre TOGA, a sa ligne de chaussures « TOGA PULLA SHOE », sa ligne de pré-collection « TOGA PULLA » et sa ligne de vêtements pour hommes « TOGA VIRILIS », ainsi que de pièces uniques sous le label « TOGA PICTA », distribuées uniquement dans ses boutiques propres.

  • TSUMORI CHISATO

    Logo Tumotori Chisato

    Après avoir designer pour Issey Miyake, la créatrice Tsumori Chisato fonde sa propre maison éponyme, qui tourne autour d’un style joueur et plein de fantaisie, à la fois pop et poétique. De l’énergie, des couleurs, des motifs kitsch à souhait, parfois enfantins, un usage savant d’accessoires, des perles aux broderies, pour habiller ces créations féminines. C’est une véritable « tisseuse de rêves » (cit. Vogue).

  • UNDERCOVER

    Logo Undercover

    Attention ! Spécimen rare. Vénéré dans l’univers streetwear et aussi à l’aise dans les défilés de haute couture parisiens, la marque est totalement hybride et injectée d’une bonne dose d’underground authentique Tokyo style. Un joyeux amalgame de chaos, de détermination, de fragilité, de paix et d’humour, propres au designer Jun Takahashi.

  • Y-3

    Logo Y-3 Yohji Yamamoto

    Un trait d'union entre la marque aux 3 bandes et l'univers de Yohji Yamamoto. Y-3, est une marque culte du sportswear et plus généralement de la mode depuis 2001. Elle est née lorsque le couturier japonais demanda à adidas de lui prêter des baskets pour sa collection automne-hiver, la marque étant très exposée au Japon. La marque a accepté et lui a même proposé d’imaginer avec elle ce à quoi pourrait bien ressembler le sportswear du futur. Depuis, Yohji Yamamoto développe ses silhouettes si particulières, son goût prononcé pour le noir et les volumes, mais aussi des couleurs vives, posées sur des matières raffinées issues de la hi-tech. Avant-gardiste, la marque use des matières comme le néoprène et des formes spécifiques, multiplie les défilés et les campagnes de publicité surprenants et novateurs, mélange savament sport et poésie.

  • Yohji Yamamoto

    Logo Yohji Yamamoto

    « Hiroshima Chic » fût longtemps utilisé pour qualifier le style de l'artiste-couturier, protagoniste du mouvement déconstructionniste.

    Yohji Yamamoto fonde sa maison éponyme à Tokyo en 1972. Le prêt-à- porter s’y fait vagabond, le noir domine souvent, le vêtement est désintégré, la construction remise en question, son côté pérenne ou périssable. Il a profondément marqué une génération de designers belges.

  • ZUCCa

    Logo Zucca

    Depuis son premier défilé en 1988, le créateur japonais Akira Onozuka a tissé un long travail de maturité. De son apprentissage auprès d’Issey Miyake à partir des années 1970, il a gardé un goût prononcé pour le processus de création. L’univers Zucca est tout en couleur, ses vêtements sont pratiques à porter et issus de la mode urbaine. Les vêtements sont parfaitement conçus. Zucca ouvre sa première boutique et développe la ligne Cabane de Zucca en 1993 à Tokyo, avec des créations hommes, femmes et enfants et des collaborations avec des artistes en tout genre, qui conçoivent les vitrines ou la décoration intérieure. En 1994, la marque lance une nouvelle ligne, Zucca Travail, qu’elle qualifie de « work wear pour les inactifs » qui est inspirée des tenues de travail, des uniformes et du sportswear. Cette collection est fabriquée en France et a même été primée pour son apport à l’industrie de fabrication en France. En 1995, Zucca débute une collaboration avec le fabricant de montres Seiko et sort une collection par an de montres aux noms gourmands comme Chocolat ou Chewing Gum et au design original. Aujourd’hui, le monde est un terrain de jeu d’où le créateur tire ses multiples inspirations.

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